L'an dernier, lorsque je suis allée à Sceaux afin de voir le Chalet Blanc de Guimard, je suis descendue du RER en gare de Bourg-la-Reine et de loin, j'ai rapidement remarqué une tour mystérieuse qui s'élevait au-dessus des toits:
Je suis donc allée voir de quoi il s'agissait et j'ai été plutôt déçue par la construction que j'ai découverte. En voyant la tour avec les dragons, j’avais imaginé plus d'originalité et de fantaisie dans l'ornementation. J'en ai tout de même pris quelques photos et fait des recherches de retour chez moi.
En fait, il s'agit bien d'une construction hors de l'ordinaire, même si cela n'est pas évident de prime abord, tant nous sommes habitués maintenant à en voir de ce type. Son auteur, François Hennebique, était ingénieur et inventeur de systèmes constructifs en béton armé. Toutes les sources citent l'année 1879, comme celle où il a coulé sa première grande dalle en béton et l'année suivante, celle où il a conçu la possibilité de construire en alliant le fer au béton, inventant ainsi le concept de construction en béton armé . Au début des années 1890, il a créé un système global de constructions en béton armé, nommé "système Hennebique".
J'ai aussi découvert que c'était également l'ingénieur d'un immeuble Art Nouveau dans Paris, situé au 1 rue Danton, dans mon ancien quartier d'étudiante en histoire de l'art et qui me plait beaucoup. Construit entre 1899 et 1900, avec la collaboration de l'architecte Emile Arnaud, il y installe ses propres bureaux. 1900 a été une année importante pour lui, puisque son travail a une place prépondérante lors de l'Exposition Universelle, qui le considère comme le plus important entrepreneur de travaux publics en béton armé.
L'édifice est uniformément couleur béton, c'est-à-dire du matériau qui le constitue et pourrait paraître triste. Heureusement, la façade est animée par des bandeaux en relief, courant les longs des fenêtres, ainsi que pas des bow-windows, ainsi qu'une tourelle d'angle et surtout des baies en semi-cercle au-dessus des portes au rez-de-chaussé. Celle qui chapeaute la porte d'entrée présente même une délicate décoration en éventail.
Selon plusieurs sources, cet immeuble est orné de sculptures et de plaques en grès flammé d'Alexandre Bigot, mais je n'ai trouvé aucune plaque l'indiquant, comme cela est le cas sur de nombreux édifices décorés de ses oeuvres.
Seules les plaques rectangulaires portant le nom Hennebique, entre deux anges et le mot système au-dessus, entouré d’entrelacs, orné de motifs floraux, sont colorés. Elles ne ressemblent guère cependant aux autre oeuvres connues du céramiste.
En comparaison, la maison dite Villa ou Tour Hennebique à Bourg-la-Reine, semble plus rectiligne et bien plus sage. Mais ce n'est qu'apparence. Il s'agit en réalité d'un système de construction complexe sur différents niveaux, avec des terrasses en saillie et des jardins suspendus. La tour est en fait un château d'eau permettant l'arrosage par gravitation.
Je suis donc allée voir de quoi il s'agissait et j'ai été plutôt déçue par la construction que j'ai découverte. En voyant la tour avec les dragons, j’avais imaginé plus d'originalité et de fantaisie dans l'ornementation. J'en ai tout de même pris quelques photos et fait des recherches de retour chez moi.
En fait, il s'agit bien d'une construction hors de l'ordinaire, même si cela n'est pas évident de prime abord, tant nous sommes habitués maintenant à en voir de ce type. Son auteur, François Hennebique, était ingénieur et inventeur de systèmes constructifs en béton armé. Toutes les sources citent l'année 1879, comme celle où il a coulé sa première grande dalle en béton et l'année suivante, celle où il a conçu la possibilité de construire en alliant le fer au béton, inventant ainsi le concept de construction en béton armé . Au début des années 1890, il a créé un système global de constructions en béton armé, nommé "système Hennebique".
J'ai aussi découvert que c'était également l'ingénieur d'un immeuble Art Nouveau dans Paris, situé au 1 rue Danton, dans mon ancien quartier d'étudiante en histoire de l'art et qui me plait beaucoup. Construit entre 1899 et 1900, avec la collaboration de l'architecte Emile Arnaud, il y installe ses propres bureaux. 1900 a été une année importante pour lui, puisque son travail a une place prépondérante lors de l'Exposition Universelle, qui le considère comme le plus important entrepreneur de travaux publics en béton armé.
L'édifice est uniformément couleur béton, c'est-à-dire du matériau qui le constitue et pourrait paraître triste. Heureusement, la façade est animée par des bandeaux en relief, courant les longs des fenêtres, ainsi que pas des bow-windows, ainsi qu'une tourelle d'angle et surtout des baies en semi-cercle au-dessus des portes au rez-de-chaussé. Celle qui chapeaute la porte d'entrée présente même une délicate décoration en éventail.
Selon plusieurs sources, cet immeuble est orné de sculptures et de plaques en grès flammé d'Alexandre Bigot, mais je n'ai trouvé aucune plaque l'indiquant, comme cela est le cas sur de nombreux édifices décorés de ses oeuvres.
Seules les plaques rectangulaires portant le nom Hennebique, entre deux anges et le mot système au-dessus, entouré d’entrelacs, orné de motifs floraux, sont colorés. Elles ne ressemblent guère cependant aux autre oeuvres connues du céramiste.
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El año pasado, cuando fui à Sceaux para ver el Chalet Blanc de Guimard, bajé en la estación de RER de Bourg-la-Reine y de lejos, enseguida me fijé en una torre misteriosa que surgía por encima de los techos.
Entonces fui a ver de que se trataba y lo que descubrí me decepcionó. Cuando vi la torre con los dragones había imaginado más originalidad y fantasía en la ornamenta. Sin embargo, tomé algunas fotos e hice investigaciones en Internet, de regreso a casa.
De hecho, se trata realmente de una construcción que sale del ordinario, aunque eso no sea evidente a simple vista, puesto que ahora estamos acostumbrados de ver las de este tipo. Su diseñador, François Hennebique, era ingeniero e inventor de sistemas constructivos de concreto armado. Todas las fuentes señalan que fue en 1879 cuando hizo su primer trabajo en concreto y el siguiente cuando concibió la posibilidad de construir en hierro y en concreto, inventando el concepto de concreto armado. Al inicio de los años 1890, creó el sistema global de construcción en concreto armado, llamado “sistema Hennebique”.
También descubrí que era el ingeniero de un edificio Art nouveau en París, situado 1 rue Danton, en mi antiguo barrio de estudiante de Historia del Arte et qui me encanta. Construido entre 1899 y 1900 en colaboración con el arquitecto Emile Arnaud, instala ahí sus propias oficinas. El año 1900, fue importante para él, puesto que su trabajo tuvo un lugar protagonista durante la Exposición Universal, donde es considerado como el más importante empresario de obras publicas de concreto armado.
El edificio tiene un color gris concreto homogéneo, es decir del material mismo del cual está constituido y podría parecer triste. Felizmente, la fachada esta animada por bandas en relieve a lo largo de las ventanas, por bow-windows, por una pequeña torre de angulo y sobre todo por los ventanales en forma de abanico encima de la puerta de entrada.
Según varias fuentes, las decoraciones de esculturas y placas de gres flameado son obra de Alexandre Bigot, aunque ninguna placa lo indique. Solo las placas con el nombre de Hennebique, entre dos ángeles y la palabra sistema encima, rodeados de motivos florales son coloridas y muy diferentes a las otras obras conocidas del ceramista.
En comparación, la casa llamada Villa o Torre Hennebique de Bourd-la-Reine, parce bastante rectilínea y más tranquila. Pero no es mâs que apariencia. Se trata en realidad de un sistema de construcciones complejas sobre diferentes niveles, con terrazas salientes y jardines suspendidos. La torre es en realidad un catillo de agua que permite el riego, por gravedad, de los jardines.
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