Avec un peu plus de deux mois de retard, je publie enfin un article commencé il y a plusieurs semaines sur mon coup de cœur, lors de la biennale de cette année. Cette fois-ci, ce n'a pas été un immeuble Art Nouveau, mais une taverne Art Déco. Il faut dire que j'avais choisi un veek-end avec plus de visites concernant ce style et dans des quartiers moins connus pour l'Art Nouveau que Saint Gille ou Ixelles.
Avant de vous parler de cette visite, je souhaite dire que c'est le seul lieu où les photos de l'intérieur étaient autorisées et où j'en ai effectivement fait. J'ai ce blog, et bien évidemment, mon plus grand bonheur serait de pouvoir partager mes visites avec mes lectrices.eurs. Mais, même ainsi, s'il est spécifié que les photos sont interdites, je n'en fais pas, contrairement à de nombreux visiteurs (il me semble que cela est très souvent le fait de messieurs) qui s'obstinent à prendre des photos plus ou moins en cachette. Certains même continuent à en faire, alors que le.la guide est en train de leur dire que ce n'est pas possible. Pour moi, il s'agit d'un manque de respect envers les propriétaires qui ouvrent leurs portes aux visites et qui peut faire qu'ils ou elles ne souhaitent plus les ouvrir lors des biennales suivantes. Cette parenthèses étant faite (et ce n'est pas la première fois que je parle du problème de l'interdiction des photos d'intérieur sur mon blog), je continue avec le récit de ma découverte et émerveillement.
Une seule chambre a été conservée dans le style de l'époque et il est possible de la réserver comme n'importe quelle autre chambre de l'hôtel, avec l'avantage d'avoir l'impression de pouvoir remonter le temps.
Avant de vous parler de cette visite, je souhaite dire que c'est le seul lieu où les photos de l'intérieur étaient autorisées et où j'en ai effectivement fait. J'ai ce blog, et bien évidemment, mon plus grand bonheur serait de pouvoir partager mes visites avec mes lectrices.eurs. Mais, même ainsi, s'il est spécifié que les photos sont interdites, je n'en fais pas, contrairement à de nombreux visiteurs (il me semble que cela est très souvent le fait de messieurs) qui s'obstinent à prendre des photos plus ou moins en cachette. Certains même continuent à en faire, alors que le.la guide est en train de leur dire que ce n'est pas possible. Pour moi, il s'agit d'un manque de respect envers les propriétaires qui ouvrent leurs portes aux visites et qui peut faire qu'ils ou elles ne souhaitent plus les ouvrir lors des biennales suivantes. Cette parenthèses étant faite (et ce n'est pas la première fois que je parle du problème de l'interdiction des photos d'intérieur sur mon blog), je continue avec le récit de ma découverte et émerveillement.
La façade de l'immeuble est dans un style néo-classique très
banal. Seule la devanture en marbre, avec des enseignes lumineuses, est Art
Déco. Son architecte, Léon Govaerts, est également l'auteur de la Maison Alice et David van Buuren, que j'ai visité cet été et dont je parlerai à une autre occasion.
Dès le seuil franchit, l'ambiance des années 30 nous enveloppe. Ancienne maison de rendez-vous, le décor en a été préservé, tout comme l’ameublement.
Les vitraux sont des deux styles bien différents: géométriques haut-dessus du bar, sur les côtés de la porte d'entrée et sur les portes menant à l'hôtel et à la cuisine. Décorés de paysage évoquant la Nature du Congo belge sur le haut des murs, le long des banquettes.
Des miroirs au fond de la salle, donne l'illusion de profondeur et reprennent à l'infini la lumière de petites lampes cascade. Le tout étant éclairé par d'élégants plafonniers.
Une seule chambre a été conservée dans le style de l'époque et il est possible de la réserver comme n'importe quelle autre chambre de l'hôtel, avec l'avantage d'avoir l'impression de pouvoir remonter le temps.
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Con poco más de
dos meses de retraso, publico hoy mi flechazo durante la bienal de este año en
Bruselas, que no ha sido por un edificio Art Nouveau, sino una taberna Art Deco. Hay que resaltar que, esta vez, el fin de semana que
había elegido, era de visitas en barrios donde la arquitectura Art Nouveau es
menos frecuente que Saint Gilles o Ixelles.
Antes de
hablarles de la visita, quisiera decirles que fue el único lugar donde las
fotos de interior estaban permitidas y donde, en efecto, tomé varias. Tengo este blog y, por supuesto, mi gran más
gran felicidad seria de poder compartir mis visitas con mis lectoras y
lectores. Pero aun así, si está especificado que las fotos están prohibidas, no
las hago. Lo que nos es el caso de numerosos visitantes (y me parece que
mayoritariamente señores) que se empeñan en tomar fotos de manera más o menos
escondida. Algunos siguen sacándolas aunque la o el guía les dice que no tienen
que hacerlo. En mi manera de ver, es una falta de respeto hacia los propietarios
que abren sus puertas a las visitas y que podría conllevar que ya no lo hagan
en las bienales siguientes. Este paréntesis hecha (y no es primera vez que
menciono este problema), continuo con la breve reseña de mi descubrimiento.
La fachada del inmueble
es de estilo neo-clásico bastante banal. Solo el escaparate de mármol con sus
luces, es de estilo Art Deco. Su arquitecto, Leon Govaerts, también es el autor
de la Casa Alice y David van Buuren, que visite este verano y de la cual
hablaré en otra ocasión.
Desde que se pasa
el umbral, el ambiente de los años 30 nos envuelve. Se ha conservado la decoración
y los muebles de época, de la antigua casa de cita.
Los vitrales son
de dos estilos bastantes diferentes: geométricos encima del bar, a los lados de
la puerta de entrada y sobre las puertas que van al hotel y a la cocina. Los
otros representan un paisaje idealizado del Congo belga corre sobre los muros detrás
de las banquetas.
Los espejos en el
fondo de la sala dan la ilusión de profundidad y retoman al infinito la luz de
las pequeñas lámparas en cascada. Toda la sala está iluminada por lámparas cenitales.
Un solo cuarto ha
conservado el estilo de la época es posible reservarlo como cualquier otro
cuarto del hotel, con la ventaja de poder tener la impresión de remontar el
tiempo.
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