Le Musée du Petit-Palais est mon musée parisien préféré. D'abord, parce qu'il est gratuit et de par ce fait, je peux y aller aussi souvent que je le souhaite. J'affectionne tout particulièrement son jardin intérieur où je prends toujours le temps de m'arrêter un peu, parfois en profitant de la terrasse de la cafétéria.J'aime y revenir voir certaines pièces que j'adore, comme cette vitrine de François-Rupert Carabin.
Les oeuvres sur bois de ce sculpteur sont reconnues comme parmi les plus belles de l'Art Nouveau. Son parcours me semblant fascinant: né en 1862 à Savernes, en Alsace, il meurt en à Strasbourg en 1932, il fera ses études et une grande partie de sa carrière à Paris. Je n'en ai aucune preuve, mais il me plaît à penser qu'il retournait peut-être régulièrement dans son Alsace natale, ce qui aurait pu lui permettre d'être en contact avec le jugendstyle naissant et bien présent, notamment à Strasbourg. J'ai lu qu'il est allé en Belgique, en Allemagne et en Autriche et cela ne fait que renforcer ce ressenti. Il a été en contact avec nombre des impressionnistes, ami de Toulouse-Lautrec il a partagé avec lui l'univers des maisons closes. La photographie lui a permis de réaliser un bel ensemble de nus féminins, parfois aux postures très langoureuses qui ont été les modèles pour la réalisation de ses travaux en bois, comme cette magnifique vitrine exposée au Petit Palais.
Elle a éré réalisée en noyer, en 1895, pour la Ville de Paris et exposée au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts. Les femmes à longue chevelure symbolisent différentes matières, comme le bois exotique, dur et tendre, l'argile ou la pierre.
Il y a quelques jours, je suis retournée au Musée des Arts Décoratifs où je n'étais pas allée depuis longtemps. J'y ai découvert avec plaisir, une oeuvre de cet artiste. Les photos ne sont pas de moi, mais d'un ami qui m'accompagnait. Ce magnifique piano m'a plu dans tous ses détails, que nous avons découvert petit à petit. Si je n'avais pas vu cette oeuvre auparavant, c'est parce qu'elle était perdue et qu'elle est revenue dans les collections du musée depuis peu comme l'indique le communiqué de presse publié ici.
Je pense que je vais partir à la recherche d'autres oeuvres de ce sculpteur et que j'en reparlerai ici bientôt.
Les oeuvres sur bois de ce sculpteur sont reconnues comme parmi les plus belles de l'Art Nouveau. Son parcours me semblant fascinant: né en 1862 à Savernes, en Alsace, il meurt en à Strasbourg en 1932, il fera ses études et une grande partie de sa carrière à Paris. Je n'en ai aucune preuve, mais il me plaît à penser qu'il retournait peut-être régulièrement dans son Alsace natale, ce qui aurait pu lui permettre d'être en contact avec le jugendstyle naissant et bien présent, notamment à Strasbourg. J'ai lu qu'il est allé en Belgique, en Allemagne et en Autriche et cela ne fait que renforcer ce ressenti. Il a été en contact avec nombre des impressionnistes, ami de Toulouse-Lautrec il a partagé avec lui l'univers des maisons closes. La photographie lui a permis de réaliser un bel ensemble de nus féminins, parfois aux postures très langoureuses qui ont été les modèles pour la réalisation de ses travaux en bois, comme cette magnifique vitrine exposée au Petit Palais.
Elle a éré réalisée en noyer, en 1895, pour la Ville de Paris et exposée au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts. Les femmes à longue chevelure symbolisent différentes matières, comme le bois exotique, dur et tendre, l'argile ou la pierre.
Il y a quelques jours, je suis retournée au Musée des Arts Décoratifs où je n'étais pas allée depuis longtemps. J'y ai découvert avec plaisir, une oeuvre de cet artiste. Les photos ne sont pas de moi, mais d'un ami qui m'accompagnait. Ce magnifique piano m'a plu dans tous ses détails, que nous avons découvert petit à petit. Si je n'avais pas vu cette oeuvre auparavant, c'est parce qu'elle était perdue et qu'elle est revenue dans les collections du musée depuis peu comme l'indique le communiqué de presse publié ici.
Je pense que je vais partir à la recherche d'autres oeuvres de ce sculpteur et que j'en reparlerai ici bientôt.
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El
Museo du Petit-Palais es mi museo favorito en París. En primer
lugar, porque es gratuito y por ello, puedo ir tan a menudo como
quiero. Me encanta particularmente su jardín interior donde siempre
tomo el tiempo para detener un poco, a veces disfrutando de la
terraza de la cafetería. Me gusta poder volver a ver algunas piezas
que me agradan cuantas veces quiera, como este escaparate Francis
Rupert Carabin.
Es un escultor de madera de los más reconocidos del estilo Art Nouveau en Francia. Su carrera me parece fascinante: nació en 1862, en Savernes, en Alsacia, murió en Estrasburgo en 1932, pero estudió e hizo una gran parte de su carrera en París.No tengo pruebas, pero me gusta pensar que tal vez volvió regularmente a su Alsacia natal, lo que le permitió estar en contacto con los países alrededor y para visualizar el Jugendstyle, presente en Estrasburgo. Leí que fue a Bélgica, Alemania y Austria, lo que me hace reforzar esta sensación.Estuvo en contacto con muchos de los impresionistas, fue amigo de Toulouse-Lautrec con quien compartía el mundo secreto de los burdeles. La fotografía le permitió crear un hermoso conjunto de desnudos femeninos, a veces con posturas muy lánguidas que fueron los modelos para la realización de sus trabajos en madera, como es el caso de esta vitrina del Petit Palais.
Es un escultor de madera de los más reconocidos del estilo Art Nouveau en Francia. Su carrera me parece fascinante: nació en 1862, en Savernes, en Alsacia, murió en Estrasburgo en 1932, pero estudió e hizo una gran parte de su carrera en París.No tengo pruebas, pero me gusta pensar que tal vez volvió regularmente a su Alsacia natal, lo que le permitió estar en contacto con los países alrededor y para visualizar el Jugendstyle, presente en Estrasburgo. Leí que fue a Bélgica, Alemania y Austria, lo que me hace reforzar esta sensación.Estuvo en contacto con muchos de los impresionistas, fue amigo de Toulouse-Lautrec con quien compartía el mundo secreto de los burdeles. La fotografía le permitió crear un hermoso conjunto de desnudos femeninos, a veces con posturas muy lánguidas que fueron los modelos para la realización de sus trabajos en madera, como es el caso de esta vitrina del Petit Palais.
Hecho
en nogal, en 1895, para la ciudad de París y expuesta en el Salón
de la Société Nationale des Beaux-Arts. Las mujeres
con el pelo largo simbolizan diferentes materiales, como la madera
exótica, dura y blanda, el barro o la piedra.
Hace
unos días, volví al Museo de Artes Decorativas, al cual que no
había ido desde hacia tiempo. Descubrí con placer, el trabajo de
este artista. Las fotos no son mías, sino un amigo que me
acompañaba. Este hermoso piano, que me gustó en todos sus detalles,
que descubrimos poco a poco. Si no lo había visto antes, es
porque se había perdido y volvió a las colecciones del museo en
fecha reciente como lo indica el comunicado de prensa aquí.
Pienso que voy a ir en busca otras obras del escultor y que las publicaré aquí pronto.
Pienso que voy a ir en busca otras obras del escultor y que las publicaré aquí pronto.
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