Le week-end dernier, j'étais à Bruxelles pour le BANAD dans le but de visiter le plus d'intérieurs possibles d’édifices construits par Victor Horta. J'avais déjà visité les hôtels Winssinguer et Tassel lors de la biennale de 2013, puis la Maison Autrique et les Anciens Magasins Waucquez, en 2014, ainsi que le Musée Horta à diverses occasions. J'ai également pu voir et photographier les façades des hôtels van Eetvelde et Hôtel Deprez-Van de Velde, ainsi que la maison de rapport Avenue Palmerston et l'Ecole maternelle Catteau – Victor Horta dans les Marolles, lors de mes fréquentes visites à Bruxelles. Je n'ai pas encore tout publié car, comme j'aime à dire, je suis un peu comme les musées, j'ai bien plus de photos et de paseos dans mes réserves que de publications.
Je comprends que beaucoup soient dtéçu.e.s que je ne publie pas de photos des intérieurs visités, mais il est interdit d'en faire des photos. Je préfère me tenir à cette interdiction et respecter le souhait des propriétaires des bâtiments qui nous offrent la possibilité de visiter, pour beaucoup, leur lieu d’habitation. J'avoue que je n'apprécierai guère que des inconnu.e.s rentrent chez moi, même à mon invitation, prennent des photos sans mon autorisation et les publient sur Internet.
A l'hôtel Max Hallet, nous avons du reste eu l'opportunité d'échanger un peu avec son actuel propriétaire, Michel Gilbert, qui a financé une très belle restauration des lieux et a permis que l'hôtel retrouve quasiment son aspect originel.
Encastré entre deux immeubles et surplombé par une imposante construction en verre moderne, cet hôtel peut passer facilement inaperçu pour qui ignore qu'il s'agit d'une oeuvre de Victor Horta. Sa façade est discrète et peu représentative du style Art Nouveau, mis à part quelques éléments.
Réalisé en pierre calcaire qui resplendit au soleil, la façade est éclairée par des ouvertures qui diffèrent à chaque étage. Il s'agit pour chaque niveau de trois fenêtres, dont la taille diminue au fur et à mesure. Pour les deux premières étages, chacune se divise en trois parties, soulignées par des huisseries en bois clair. Au rez-de-chaussée deux grandes baies, légèrement courbes, indiquent la présence du salon, une troisième fenêtre plus petite, jouxte la porte d'entrée, ornée d'un élégant motif en fer. Les trois semblent se reposer sur les ouvertures destinées à éclairer le sous-sol. Le deuxième étage est souligné par un balcon en fer forgé.
Certes, beaucoup moins somptueux que l'hôtel Solvay, c'est pourtant, de toutes les œuvres d'Horta que j'ai visitée, celle qui m'a le plus intéressée. J'ai notamment été subjuguée par le jardin d'hiver aux trois verrières trilobées qui illuminent le bâtiment. Il est possible de découvrir l'intérieur du bâtiment ICI ou grâce au livre "Hôtel Hallet, signé Horta" de Michèle Goslar.
La porte d'entrée est réalisée en bois clair, de couleur similaire à celui des huisseries des fenêtres, comportant de grands espaces vitrées protégés par du fer forgé. Elle présente quelques lignes courbes. La sonnette de service ainsi que la poignée avec les initiales stylisées de Max Hallet sont de belles représentations du gout pour les détails raffinés qu'avait Victor Horta et elles s'inscrivent bien dans le Style Art Nouveau;
Je comprends que beaucoup soient dtéçu.e.s que je ne publie pas de photos des intérieurs visités, mais il est interdit d'en faire des photos. Je préfère me tenir à cette interdiction et respecter le souhait des propriétaires des bâtiments qui nous offrent la possibilité de visiter, pour beaucoup, leur lieu d’habitation. J'avoue que je n'apprécierai guère que des inconnu.e.s rentrent chez moi, même à mon invitation, prennent des photos sans mon autorisation et les publient sur Internet.
A l'hôtel Max Hallet, nous avons du reste eu l'opportunité d'échanger un peu avec son actuel propriétaire, Michel Gilbert, qui a financé une très belle restauration des lieux et a permis que l'hôtel retrouve quasiment son aspect originel.
Encastré entre deux immeubles et surplombé par une imposante construction en verre moderne, cet hôtel peut passer facilement inaperçu pour qui ignore qu'il s'agit d'une oeuvre de Victor Horta. Sa façade est discrète et peu représentative du style Art Nouveau, mis à part quelques éléments.
Réalisé en pierre calcaire qui resplendit au soleil, la façade est éclairée par des ouvertures qui diffèrent à chaque étage. Il s'agit pour chaque niveau de trois fenêtres, dont la taille diminue au fur et à mesure. Pour les deux premières étages, chacune se divise en trois parties, soulignées par des huisseries en bois clair. Au rez-de-chaussée deux grandes baies, légèrement courbes, indiquent la présence du salon, une troisième fenêtre plus petite, jouxte la porte d'entrée, ornée d'un élégant motif en fer. Les trois semblent se reposer sur les ouvertures destinées à éclairer le sous-sol. Le deuxième étage est souligné par un balcon en fer forgé.
Certes, beaucoup moins somptueux que l'hôtel Solvay, c'est pourtant, de toutes les œuvres d'Horta que j'ai visitée, celle qui m'a le plus intéressée. J'ai notamment été subjuguée par le jardin d'hiver aux trois verrières trilobées qui illuminent le bâtiment. Il est possible de découvrir l'intérieur du bâtiment ICI ou grâce au livre "Hôtel Hallet, signé Horta" de Michèle Goslar.
La porte d'entrée est réalisée en bois clair, de couleur similaire à celui des huisseries des fenêtres, comportant de grands espaces vitrées protégés par du fer forgé. Elle présente quelques lignes courbes. La sonnette de service ainsi que la poignée avec les initiales stylisées de Max Hallet sont de belles représentations du gout pour les détails raffinés qu'avait Victor Horta et elles s'inscrivent bien dans le Style Art Nouveau;
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