J'ai abandonné mon blog depuis plus d'un mois et demi. Dans une dizaine de jours, je serai en vacances à Barcelone et, automatiquement, les merveilles modernistes de ma ville natale reviennent à mon esprit.
J'ai déjà publié, l'année dernière, trois articles sur ce chef-d'oeuvre de Gaudi: la façade, le premier étage et l'escalier. Aujourd'hui, je voudrais présenter le toit-terrasse de l'immeuble, où son monde imaginaire resplendit. Le génial architecte conjugue la représentation de la légende de San Jordi terrassant le dragon pour sauver une princesse, symbole de la Catalogne, avec esthétique et la fonctionnalité. La terrasse côté rue est bordée par une forme sculpturale recouverte de céramiques dans les tons orangé-bleu, comme des écailles recouvrant l'échine d'un dragon.
Elle recouvre une salle de dépôt d'eau et sa forme arrondie permet que l'eau circule par pression dans tout le bâtiment. Sur toute l'échine courent des éléments ronds qui peuvent faire penser à des carapaces de tortues.
Juste derrière, sur la terrasse, des cheminées se dressent ondulantes et recouvertes par une petite toiture, leur donnant une allure de champignons, qui rappelle également le sommet des obélisques égyptiens (le pyramidion) et ayant pour fonction d'empêcher le vent de rabattre la fumée à l'intérieur. Les culminent par une boule qui à l'origine était de verre remplie de sable, mais a été changé lors de la restauration par une boule de ciment et verre). Elles se répètent en 4 occasions, formant des îlots de couleur sur la terrasse aux murs blancs et le sol recouvert de tomettes rouges.
J'ai déjà publié, l'année dernière, trois articles sur ce chef-d'oeuvre de Gaudi: la façade, le premier étage et l'escalier. Aujourd'hui, je voudrais présenter le toit-terrasse de l'immeuble, où son monde imaginaire resplendit. Le génial architecte conjugue la représentation de la légende de San Jordi terrassant le dragon pour sauver une princesse, symbole de la Catalogne, avec esthétique et la fonctionnalité. La terrasse côté rue est bordée par une forme sculpturale recouverte de céramiques dans les tons orangé-bleu, comme des écailles recouvrant l'échine d'un dragon.
Juste derrière, sur la terrasse, des cheminées se dressent ondulantes et recouvertes par une petite toiture, leur donnant une allure de champignons, qui rappelle également le sommet des obélisques égyptiens (le pyramidion) et ayant pour fonction d'empêcher le vent de rabattre la fumée à l'intérieur. Les culminent par une boule qui à l'origine était de verre remplie de sable, mais a été changé lors de la restauration par une boule de ciment et verre). Elles se répètent en 4 occasions, formant des îlots de couleur sur la terrasse aux murs blancs et le sol recouvert de tomettes rouges.
Tout comme l'échine du dragon, côté terrasse, elles sont recouvertes des célèbres "trencadis" de Gaudi (mosaïque faite de morceaux de céramique et de verre).
Des ouvertures à la base des cheminées permettent d'éclairer les escaliers, les salles en-dessous et sur le bord de la terrasse, apprécier la vue sur le Paseo de Gracia ou la cour intérieure. Toutes simples, elles sont recouvertes de grilles (récentes?).
Finalement, le tout est surmonté par la croix gaudienne, symbole de sa foi, qui se dresse altière dans le ciel, entre la Casa Batllo et la Casa Amatler
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He
dejado abandonado mi blog desde hace poco más de un mes y medio.
Dentro de unos días, estaré de vacaciones en Barcelona y,
automáticamente, las maravillas modernistas de mi ciudad natal
vuelven a mi mente.
Ya
publiqué, el año pasado, tres artículos sobre esta obra maestra de
Gaudi: la fachada, la primera planta y la escalera. Hoy, quisiera
presentar el techo-terraza del edificio, donde resplandece su mundo
imaginario. El genial arquitecto conjuga la representación de San
Jordi matando el dragón para salvar la princesa, símbolo de
Cataluña, con la estética y la funcionalidad. La terraza, del lado
de la calle presenta una forma escultural cubierta de cerámicas de
tonos anaranjados y azules, como escamas del dorso de un dragón, que
cubre un sala con depósitos de agua. Si forma redonda permite que el
agua circulé por presión por todo el edificio. Sobre el dorso
corren elementos redondos que se asemejan a caparazones de tortuga.
Justo
detrás, sobre la terraza, se alzan chimeneas ondulantes, cubiertas
por un pequeño techo, cuya función era impedir que el humo sea
rematado por el viento, que les dan aires de hongos et recuerdan
también las cumbres de los obeliscos egipcios (el pyramidion).
Tienen en su punta una bola, originalmente de vidrio con arena, pero
que fueron cambiadas durante la restauración por bolas de cemento y
vidrio. Las chimeneas se repiten 4 veces, formando isletas de color
sobre la terraza de muros blancos y suelo rojo.
Al
igual que el lomo del dragón, del lado de la terraza, están
cubiertas del famoso trencadis de Gaudi (mosaico de trozos de
cerámica y vidrio).
Aperturas
a la base de las chimeneas permiten alumbrar las escaleras, las salas
debajo y, en el borde de la terraza, apreciar la vista sobre el Paseo
de Gracia o el patio. Sencillas, están cubiertas por rejas
(recientes?).
La
cruz gaudiana remata el edificio, símbolo de su fe, altiva entre la
Casa Batllo y la Casa Amatler.
Hola Eli, llevo un tiempo algo alborotado por algún viaje y sobre todo los nietos. Como me encanta tenerlos, pasan días conmigo.
RépondreSupprimerTú, veo que insistes en la Casa Batlló. No me extraña porque es de una gran belleza. Yo también estoy enamorado de esa casa.
No sé si nos veremos, pero sigo con pasión tus bajadas al blog. Siempre con artículos muy interesantes y muy bien redactados por ti.
Un fuerte abrazo.