L'homme qui m'accompagne depuis quelques mois, sur le chemin de la vie, me fait de délicieuses surprises et se plait à partager ma passion pour l'Art Nouveau. Dernièrement, je lui commentais que, régulièrement, je faisais des visites guidées dans le quartier de la Madeleine, autour du thème des passages couverts. Et que, lors de ces visites, je rêvais à chaque fois de découvrir le décor Art Nouveau du restaurant qui se cachait derrière de grands panneaux blancs, dans le passage de La Madeleine, au n°19 de la place du même nom. Il n'en fallait pas plus pour qu'il souhaite m'y inviter, afin que je découvre enfin ce décor attribué à Louis Majorelle pour les boiseries et à un dénommé Planel, pour les ferronneries.
Mardi soir, nous nous y sommes rendus. Je m'étais un peu renseignée sur la web et j'étais intriguée par le fait que l'actuel chef et propriétaire du restaurant, Alain Senderens, avait fait appel en 2005, à l'architecte d'intérieur Noë Duchaufour-Lawrence. Je me demandais ce que j'allais ressentir face à ce mélange entre design contemporain et décoration Art Nouveau.
J'ai trouvé la combinaison plutôt bien réussie, si ce n'est d'horribles cages en résille, d'un goût plus que douteux, contenant de (fausses?) orchidées, détonnant complètement dans un ensemble audacieux mais au demeurant harmonieux. Qui plus est, mal posées sur les superbes boiseries aux douces et délicates arabesques Art Nouveau.
Mais, ce détail (d'importance) mis à part, j'ai aimé le plafond tendu de rose et les arborescences lumineuses aux lumières changeantes, placées devant les miroirs et qui reprennent des motifs typiquement Art Nouveau, comme les iris.
Le mobilier, constitué par des tables au plateau blanc, où le service se fait directement "sur le marbre", sans nappes et par des sièges enveloppants, dans des tonalités gris métallisé, se marie très bien et rehausse même la blondeur des boiseries de citronnier et de sycomore.
Reste que mon regard c'est tout de même bien plus attardé sur les élégantes boiseries qui séparent en panneaux les grands miroirs si typiques des restaurants 1900. Allant des visages de femmes encadrés de belles lampes fleurs et
aux détails de tiges ondulantes ornées de feuilles de platanes.
Une soirée qui est passée en un clin d'oeil. Merci, pour ces merveilleux moments de bonheur.
Mardi soir, nous nous y sommes rendus. Je m'étais un peu renseignée sur la web et j'étais intriguée par le fait que l'actuel chef et propriétaire du restaurant, Alain Senderens, avait fait appel en 2005, à l'architecte d'intérieur Noë Duchaufour-Lawrence. Je me demandais ce que j'allais ressentir face à ce mélange entre design contemporain et décoration Art Nouveau.
J'ai trouvé la combinaison plutôt bien réussie, si ce n'est d'horribles cages en résille, d'un goût plus que douteux, contenant de (fausses?) orchidées, détonnant complètement dans un ensemble audacieux mais au demeurant harmonieux. Qui plus est, mal posées sur les superbes boiseries aux douces et délicates arabesques Art Nouveau.
Le mobilier, constitué par des tables au plateau blanc, où le service se fait directement "sur le marbre", sans nappes et par des sièges enveloppants, dans des tonalités gris métallisé, se marie très bien et rehausse même la blondeur des boiseries de citronnier et de sycomore.
Reste que mon regard c'est tout de même bien plus attardé sur les élégantes boiseries qui séparent en panneaux les grands miroirs si typiques des restaurants 1900. Allant des visages de femmes encadrés de belles lampes fleurs et
aux détails de tiges ondulantes ornées de feuilles de platanes.
Une soirée qui est passée en un clin d'oeil. Merci, pour ces merveilleux moments de bonheur.
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El
hombre que me acompaña desde hace unos meses por el camino de la
vida, me sorprende con deliciosas sorpresas y le gusta compartir mi
pasión por el Art Nouveau. Hace poco, le estaba comentando que
regularmente hago visitas guiadas en la zona de La Madeleine y que,
cada vez, tenia el sueño de descubrir el restaurante Art Nouveau que
se esconde detrás de grande paneles blancos en la galería del n°19
de la plaza de La Madeleine. No tuve que decir màs para que tuviera
la idea de invitarme a cenar y pudiera ver finalmente los paneles de
madera de Majorelle y las herrerías de un llamado Planel.
El
martes pasado fuimos, como dos enamorados que somos. Había
investigado un poco en la web y me tenia intrigada el hecho que el
chef y dueño actual del restaurante, Alain Senderens, en 2005, pidió
una nueva decoración a Noé Duchaufour-Lawrence, diseñador de
interiores. Me preguntaba cual seria el resultado de esta mezcla de
estilo y si me gustaría.
La
combinación me pareció bastante exitosa, si no fuese estas
horrendas jaulas que encierran (falsas) orquídeas. Mal puestas, para
colmo, en el delicado artesanado de Majorelle. Pero, fuera de este
(importante) detalle, me gustaron el techo tensado de telas rosas y
los juegos de luces arborescentes, puestas delante de los espejos que
retoman temas del Art Nouveau como los iris.
El
mobiliario se compone de mesas con una cubierta blanca, donde el
servicio se hace directamente "sobre el mármol", sin
manteles y de asientos envolventes en tonos gris metálico, que se
mezclan bien y realzan incluso el color rubio de los paneles de
madera de limón y sicomoro.
Aún
así, mis miradas iban sobre todo hacia los paneles de madera que
separan los espejos elegantes restaurantes tan típicos de 1900, con
hermosos rostros de mujer, enmarcados por lamparas flores y los
detalles de ramas rodeadas de hojas de platanaceae … y hacia los
bellos ojos azules de mi amado. Una linda velada que pasó en un abrir y cerrar de ojos. Gracias cariño por estos
maravillosos momentos de felicidad que me das y compartes.
Magnífico. EC. Un saludo desde Barcelona ¡¡¡¡ Salut
RépondreSupprimerSuper photos d'un endroit que je souhaite visiter depuis des années. Merci.
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